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Santé

Trouver des médecins et professionnels de santé

Vous trouverez, en consultant annuairesante.ameli.fr tous les médecins et professions médicales pour prendre soin de votre santé.

Vous pouvez identifier une pharmacie de garde grâce à l'application mobile MonPharmacien ou le site www.monpharmacien-idf.fr. Dans le Val d'Oise, il faut d'abord appeler le 3237 ou se connecter sur www.3237.fr. Les coordonnées de la pharmacie de garde de nuit vous seront communiquées par les services de police ou de gendarmerie de proximité. A partir de 20h jusque 8h, il faut passer directement au commissariat avec pièce d'identité et ordonnance du jour.

En cas d'urgence, comment consulter un médecin généraliste dans le Val d'Oise

 

Les dangers du Monoxyde de Carbone (CO)

 

Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz incolore, inodore et non irritant : il est donc indétectable par l’Homme. Sa présence résulte d’une mauvaise combustion au sein d’un appareil fonctionnant au gaz, à l’essence, au fioul, à l’éthanol ou encore au bois et au charbon (dont l’utilisation de brasero ou de barbecue en intérieur). Il prend la place de l’oxygène dans le sang et peut être mortel en moins d’une heure. Les maux de têtes, nausées, vertiges et troubles visuels sont ainsi les premiers symptômes d’une intoxication.
Avec plus de 630 personnes intoxiquées en 2021, l’Île-de-France est une région particulièrement touchée par les intoxications au monoxyde de carbone. Dans le département du Val-d’Oise, 29 épisodes d’intoxication sont survenus dans l’habitat, impliquant 113 personnes, parmi lesquelles deux sont décédées.
A l’approche de la saison hivernale et dans un contexte de crise énergétique annoncée, le risque d’intoxication au CO pourrait s’accroître en raison notamment du recours à des moyens de chauffage alternatifs ou vétustes.

Les gestes simples de prévention à respecter sont les suivants :

  • Faire vérifier et entretenir chaque année les installations de chauffage par un professionnel qualifié, de préférence avant la saison hivernale ;
  • A l’occasion de cet entretien, faire vérifier et ramoner les conduits permettant l’évacuationdes gaz issus de ces installations de chauffage. Si le chauffagiste ne contrôle que l’appareil, les occupants doivent faire appel à un fumiste ;
  • Veiller à bien ventiler son logement, même en hiver : aérer quotidiennement et ne jamais obstruer les grilles de ventilation ;
  • Respecter scrupuleusement les consignes d’utilisation des appareils à combustion prescrites par le fabricant ;
  • Proscrire l’utilisation, dans des locaux clos, de groupes électrogènes ou de moyens de chauffages non adaptés tels que les barbecues et les braseros.

Enfin, il est vivement conseillé d’équiper le logement d’un détecteur de monoxyde de carbone qu’il est possible de se procurer dans les magasins de bricolage.

Consulter la plaquette et le lien ci-dessous.

 

Les gestes qui sauvent

Maladie de Lyme

Le Ministère de la Santé et Sante Publique France ont élaboré des documents d’information sur la prévention des maladies transmises par les piqûres de tiques pour prévenir la maladie de Lyme.

 

 

Cette campagne d’information comprend :

 

- un nouveau dépliant sur la prévention de la maladie de Lyme, « Les conseils de Prudence » à destination des enfants (http://inpes.santepubliquefrance.fr/CFESBases/catalogue/pdf/1797.pdf);

 

 

- un dépliant « Maladie de Lyme » qui informe  la population sur les risques induits par les piqûres de tiques et l’incite à adopter les gestes de prévention adéquats (http://inpes.santepubliquefrance.fr/CFESBases/catalogue/pdf/1712.pdf);

Et si le gaz naturel était l'avenir de la qualité de l'air en Ile de France?

L’amélioration de la qualité de l’air est un enjeu capital de santé publique en Île-de-France. Des solutions existent. L’électricité en est une. Elle n’est pas la seule. Le 24 novembre dernier, le Sigeif, Syndicat intercommunal pour le gaz et l’électricité en Île-de-France inaugurait, à Bonneuil-sur-Marne, la première station de son réseau public de distribution de GNV(1) et bioGNV(2). Beaucoup moins polluants que le diesel ou l’essence, les véhicules roulant au bioGNV émettent 80 % de CO2 en moins et ne rejettent aucune particule fine dans l’atmosphère. À ce jour, c’est la seule alternative crédible au diesel, notamment pour les flottes de poids lourds et d’utilitaires, pour lesquelles il n’y a pas encore de solution électrique satisfaisante.